Neuf entreprises ferroviaires ont déposé une plainte à l'encontre du gestionnaire d'infrastructures SNCF Réseau. Elles sollicitent des indemnisations suite aux mouvements sociaux contre la réforme des retraites qui ont eu lieu l'an dernier.
Le 25 juillet, Getlink, qui exploite le tunnel sous la Manche, a présenté un chiffre d'affaires en recul de 14 % au premier semestre 2024 en raison de la baisse du prix de l'electricité qui affecte l'activité de la liaison électrique entre le France et l'Angleterre. Son bénéfice, quant à lui, s'améliore.
Les premières éoliennes installées en mer l’ont été à proximité des côtes, par faible profondeur, posées sur des pieux ou des fondations gravitaires. Les champs éoliens offshore à venir seront positionnées au large et le recours à des flotteurs deviendra la règle.
Getlink, l'exploitant du tunnel sous la Manche, a présenté le 25 avril un chiffre d'affaires en baisse de 23 % au premier trimestre 2024, bien que l'activité du transport de véhicules et de passagers dans le tunnel sous la Manche soit resté stable sur un an. Elle porte toutefois les marques du dumping social.
Europorte a poursuivi dans la voie de croissance rentable en ayant enregistré en 2023 une hausse de près de 10% de son chiffre d’affaires. Grâce à la diversification de ses activités, la filiale de Getlink a, ainsi, été en mesure de compenser l’impact des mouvements sociaux qui ont perturbé son exploitation durant quatre mois.
La rencontre « fret ferroviaire du futur et OFP » a eu lieu le 28 novembre 2023 et abordé de nombreuses thématiques dont les voies capillaires fret, le rôle des régions, l’utilisation des CEE ou encore qu’en est-il des objectifs de doublement de la part modale… La matinée a aussi été marquée par la venue du ministre des Transports Clément Beaune qui a insisté sur le rôle de fret ferroviaire pour atteindre les objectifs de décarbonation du secteur des transports.
La fin du conventionnel n’est pas une tendance inéluctable. À Anvers, qui s’enorgueillit d’une culture séculaire dans le traitement du gros gabarit, on croit à sa pertinence. En dépit de la montée en puissance concomitante de deux redoutables concurrences. Pour preuve, l’attribution d’une concession dédiée au fret de projet.
Même si leur évolution est loin d’être un long fleuve tranquille, les opérateurs de fret ferroviaire opérant en France pourraient capitaliser sur les mesures prises en leur faveur au cours des prochaines années.
Avenir des trafics effectués par Fret SNCF, investissements dans la régénération du réseau et effet de la baisse du péage sur l’augmentation des flux étaient au menu de la conférence annuelle de l’Association française du rail (AFRA).
La fin du conventionnel n’est pas une tendance inéluctable. À Anvers, qui s’enorgueillit d’une culture séculaire dans le traitement du gros gabarit, on croit à sa pertinence. En dépit de la montée en puissance concomitante de deux redoutables concurrences. Pour preuve, l’attribution d’une concession dédiée au fret de projet.
Le port autonome de Liège et le gestionnaire Infrabel ont mis en avant leur volonté d’investissement et de coopération pour favoriser le report modal vers le fret ferroviaire dans cette partie de la Belgique. Plusieurs millions d’euros sont consacrés à des travaux d’amélioration des infrastructures du rail et de la voie d’eau.
Entretien avec Lionel Le Maire, directeur transports groupe Soufflet/In Vivo. Ce groupe est un grand chargeur, utilisateur des modes massifiés, fluvial et ferroviaire, mais aussi du transport routier de marchandises. Ce responsable aborde les problématiques de la logistique terrestre pour le transport des produits agricoles (blés, orge, malt, notamment) dans le contexte de la « décarbonation » des activités.
Railcoop pourrait dégager un premier excédent brut d’exploitation au cours de l’exercice 2023 si elle parvient à transformer un certain nombre de discussions en cours en volume d’affaires additionnel. Dix-sept mois après le démarrage de ses premiers services fret, la coopérative ferroviaire vient, en attendant, d’ajouter une seconde rotation hebdomadaire entre Gignac et Toulouse Saint-Jory.
Le fret ferroviaire est particulièrement affecté par la grève reconductible menée contre la réforme des retraites par les syndicats de la SNCF depuis le 7 mars.
Europorte a reproduit en 2022 un exercice quasiment identique à celui de l’année précédente. La filiale de Getlink est bénéficiaire pour la sixième année consécutive.
Chaque année, les Malteries Soufflet, filiale du groupe Invivo, affrètent 550 trains complets pour acheminer les céréales et les malts vers les silos portuaires et sites industriels. Pour réduire sa facture carbone, le chargeur utilise désormais un biocarburant, l'Oléo 100.
Le biocarburant Oleo 100 peut remplacer le gazole non routier (GNR) des locomotives circulant sur des lignes non électrifiées. C’est le cas pour des machines d’Europorte pour des trains des malteries Soufflet du groupe Invivo.
Le concessionnaire et opérateur ferroviaire du tunnel sous la Manche Getlink dévoile des résultats financiers en forte progression dans chacune de ses branches d’activité. L’exercice a également été marqué par une actualité chargée.
Le groupe Getlink, qui exploite le tunnel sous la Manche, a annoncé son retour dans le vert en 2022 avec un bénéfice net de 252 millions d'euros, grâce au trafic transmanche et à l'ouverture d'ElecLink, une liaison électrique entre la France et l'Angleterre.
Face à la hausse continue du prix de l’énergie, les acteurs du transport ferroviaire poussent un cri d’alarme auprès des pouvoirs publics. Si en 2022, les opérateurs avaient pu bénéficier d’aides sur les péages, en 2023 rien n’a été prévu par Bercy. Certaines entreprises seraient sur le point de « dérailler », de ne plus être en capacité de payer les factures d’électricité à SNCF Réseau.