D’après les premières estimations de l'Observatoire national interministériel de la sécurité routière (ONISR), la mortalité routière a reculé l’an dernier de 5,5 % sur les routes françaises. Après quatre années de hausse et de stagnation, l’ONISR n’hésite pas à parler de « rupture ».
En 2018, ce sont ainsi 3 259 personnes qui ont perdu la vie sur les routes françaises, soit, 189 décès de moins qu'en 2017. Il s’agit tout bonnement de l'année la moins meurtrière de l'histoire des statistiques de la Sécurité routière. Ces chiffres s'inscrivent dans un contexte de trafic routier en hausse, environ +7 % entre 2013 et 2017 (le trafic 2018 sera connu cet été).
Les autres indicateurs de l'accidentalité sont également en baisse : les accidents corporels diminuent de - 4,8 %, soit 2 813 accidents en moins, les personnes blessées de - 5,4 % soit 3 950 personnes blessées en moins, ainsi que les blessés hospitalisés à la suite d'un accident routier de - 24,8 %, ce qui représente 6 868 personnes en moins.
La baisse de la mortalité routière
Parmi les enseignements que l’on peut tirer de ce bilan provisoire de l’ONISR, il apparaît que cette baisse du nombre de tués sur les routes concerne toutes les catégories d’usagers.
Avec 1 647 décès en 2018, le nombre d’automobilistes tués baisse sensiblement sur un an (- 120 tués ; - 6,7 % par rapport à 2017). Bien qu’elle reste très élevée, la mortalité des deux-roues motorisés diminue également (- 4 %), 756 motocyclistes et cyclomotoristes ont perdu la vie en 2018.
La mortalité des routiers recule de - 5,9 % en 2018, (- 3 tués); tout comme celle des cyclistes qui décroit entre 2017 et 2018 : 167 ont perdu la vie l'année passée (- 3,5 %, - 6 tués). Ce chiffre s’avère toutefois en hausse de + 14% par rapport à 2013. Enfin, 475 piétons ont été tués sur les routes en 2018, soit 9 de moins qu'en 2017 (- 1,9 %). La mortalité piétonne s'accentue cependant au quatrième trimestre de l'année.
Retrouvez le premier bilan d'étape des 80 km/h, en cliquant ici
En 2018, ce sont ainsi 3 259 personnes qui ont perdu la vie sur les routes françaises, soit, 189 décès de moins qu'en 2017. Il s’agit tout bonnement de l'année la moins meurtrière de l'histoire des statistiques de la Sécurité routière. Ces chiffres s'inscrivent dans un contexte de trafic routier en hausse, environ +7 % entre 2013 et 2017 (le trafic 2018 sera connu cet été).
Les autres indicateurs de l'accidentalité sont également en baisse : les accidents corporels diminuent de - 4,8 %, soit 2 813 accidents en moins, les personnes blessées de - 5,4 % soit 3 950 personnes blessées en moins, ainsi que les blessés hospitalisés à la suite d'un accident routier de - 24,8 %, ce qui représente 6 868 personnes en moins.
La baisse de la mortalité routière
profite à tous les usagers
Parmi les enseignements que l’on peut tirer de ce bilan provisoire de l’ONISR, il apparaît que cette baisse du nombre de tués sur les routes concerne toutes les catégories d’usagers.
Avec 1 647 décès en 2018, le nombre d’automobilistes tués baisse sensiblement sur un an (- 120 tués ; - 6,7 % par rapport à 2017). Bien qu’elle reste très élevée, la mortalité des deux-roues motorisés diminue également (- 4 %), 756 motocyclistes et cyclomotoristes ont perdu la vie en 2018.
La mortalité des routiers recule de - 5,9 % en 2018, (- 3 tués); tout comme celle des cyclistes qui décroit entre 2017 et 2018 : 167 ont perdu la vie l'année passée (- 3,5 %, - 6 tués). Ce chiffre s’avère toutefois en hausse de + 14% par rapport à 2013. Enfin, 475 piétons ont été tués sur les routes en 2018, soit 9 de moins qu'en 2017 (- 1,9 %). La mortalité piétonne s'accentue cependant au quatrième trimestre de l'année.
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