Au premier trimestre 2024, les grands ports maritimes de l'Hexagone ont enregistré leur quatrième trimestre stagnant

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Port de Rouen

Les Themis, Von Adler et Nassau, déchargeant des engrais, du blé fourrager et du blé tendre sur le quai Petite Couronne à Rouen.

Crédit photo ©Etienne Berrier
En dix ans et 40 exercices trimestriels, les grands ports de l’Hexagone auront connu quelques envolées, de nombreuses traversées du désert et une fascinante descente en piqué prolongée. Depuis quatre trimestres consécutifs, les volumes stagnent autour de 71 Mt. Mais sur un an, ils sont en hausse de 6,9 % grâce au GNL, aux céréales et aux conteneurs.
Observer la courbe de l’évolution des marchandises transitant par les grands ports maritimes de la France métropolitaine (Marseille, Le Havre/Rouen, Dunkerque, Nantes, Rouen, Bordeaux, La Rochelle + Calais, sous tutelle de la région des Hauts-de-France), donne le mal de mer.

`De 76,96 Mt au premier trimestre 2015 à 71,53 Mt au premier trimestre 2024, il y eu quelques rares envolées mais de nombreuses traversées du désert et notamment une fascinante descente en piqué, prolongée, entre le premier exercice de 2019 et le second de 2020, correspondant à la période pandémique qui aura coûté 7 Mt de trafic à l'ensemble des places portuaires…
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