Avec 767 872 t au global, les trafics brestois affichent 8 % de mieux. La baisse de 6 % du total des vracs solides (335 883 t) est compensée par la hausse de 7 % des vracs liquides (253 115 t) et par celle de 49 % des marchandises diverses (178 874 t). Véritable locomotive des trafics brestois, ce sont les matières premières agricoles qui souffrent le plus: − 11 % pour les vracs solides agroalimentaires (205 602 t) et − 6 % pour les vracs liquides agroalimentaires (30 368 t). En revanche, les vracs liquides énergie font un bond de 10 %, avec même + 12 % pour les pétroles raffinés (200 677 t).
Les vracs solides non agroalimentaires grimpent de 2 %, avec − 1 % de ferrailles 34 125 t) et − 3 % de sable (75 772 t) mais + 32 % de ciment (16 307 t). La bonne surprise vient des marchandises diverses qui, avec un bond de 49 %, comptent notamment + 15 % de viandes congelées (67 980 t), + 38 % de divers conteneurs (29 615 t) et + 1 177 % de divers non conteneurisés (43 885 t). Du coup, le trafic de boîtes reprend des couleurs avec 18 % de mieux (14 766 EVP).
