Selon la Lettre A, le recours à des consultants privés pour accompagner la préfiguratrice de la fusion des trois ports de la Seine, Catherine Rivoallon, « donnerait le sentiment d’une réforme menée hors-sol » et créerait un malaise en interne. La spécialiste de la supply chain s’est entourée des conseils d’Eurogroup, de Mensia conseil et de BearingPoint. Les recommandations du premier, qui planche notamment sur la gouvernance du futur EPIC, « devraient se traduire par la transformation des postes de directeur généraux des trois ports en directeurs territoriaux », indique le titre bien informé sur les réseaux de pouvoir. Les acteurs privés, bien qu’associés via le Haropa Business Club, ne se sentiraient pas non plus écoutés « dans leurs attentes et l’orientation du futur ensemble portuaire ».