Les organisations syndicales CFDT, CGT, FO, CFTC et CFE-CGC appellent les salariés de la branche du transport routier de marchandises (TRM) à se mobiliser pour préparer des actions, qui seront visibles sur tout le territoire national, à partir du lundi 1er février 2021.
Depuis sa prise de fonction en qualité de ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari n’a officiellement jamais rencontré les organisations syndicales représentatives du TRM.
"Pourtant, les sujets brûlants, tels la propagation du virus, les tests PCR, les vaccins, le couvre-feu, l’ouverture des restaurants routiers, les conséquences du Brexit ou le Congé de fin d’activité sont toujours d’actualité, énumèrent les syndicalistes.
"Le gouvernement sollicite les organisations au gré du vent et par visio-conférence, uniquement pour se donner bonne conscience, estiment-elles. Il est urgent qu'il prenne ses responsabilités, des mesures réellement efficaces et se positionne officiellement sur l’ensemble de ces sujets".
"S'il préfère ignorer la détresse qui touche l’ensemble des salariés de la branche TRM, subissant des dégradations successives et brutales de leurs conditions de travail du fait de la situation sanitaire et économique que traverse notre pays depuis plusieurs mois, ce n’est pas le cas des organisations syndicales".
Rendez-vous est pris pour le 1er février.
Depuis sa prise de fonction en qualité de ministre délégué aux Transports, Jean-Baptiste Djebbari n’a officiellement jamais rencontré les organisations syndicales représentatives du TRM.
"Pourtant, les sujets brûlants, tels la propagation du virus, les tests PCR, les vaccins, le couvre-feu, l’ouverture des restaurants routiers, les conséquences du Brexit ou le Congé de fin d’activité sont toujours d’actualité, énumèrent les syndicalistes.
"Le gouvernement sollicite les organisations au gré du vent et par visio-conférence, uniquement pour se donner bonne conscience, estiment-elles. Il est urgent qu'il prenne ses responsabilités, des mesures réellement efficaces et se positionne officiellement sur l’ensemble de ces sujets".
"S'il préfère ignorer la détresse qui touche l’ensemble des salariés de la branche TRM, subissant des dégradations successives et brutales de leurs conditions de travail du fait de la situation sanitaire et économique que traverse notre pays depuis plusieurs mois, ce n’est pas le cas des organisations syndicales".
Rendez-vous est pris pour le 1er février.