Les limites du sign-on-glass

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Le problème n’est pas la dématérialisation des documents, mais la validation des événements. À ce jour, la solution la plus facile à mettre en place pour cette validation est le sign-on-glass, mais il impose un contact de l’utilisateur avec un appareil qui ne lui appartient pas, ce qui est contraire aux nouvelles pratiques sanitaires. Face à cela, Transfollow a introduit en mai dernier un sign-on-glass déporté. Grâce à une procédure adaptée et sécurisée, c’est sur son propre téléphone que l’utilisateur trace sa signature, qui est ensuite transmise à l’appareil d’un tiers. Quant à la validité d’une validation par sign-on-glass, elle profite actuellement d’une tolérance, mais il ne s’agit pas d’une signature électronique au sens du règlement eIDAS qui s’applique à l’identification électronique, aux services de confiance et aux documents électroniques. Une véritable signature électronique est associée à un certificat électronique qui confirme l’identité du signataire. Le protocole additionnel eCMR reprend les termes du règlement eIDAS pour ce qui concerne la signature. La signature sans contact est attendue par les entreprises, mais elle nécessite des certifications et des méthodes pour lesquels les travaux sont en cours.

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