Disparition de Jean de Chauveron

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Il a été l’une des chevilles ouvrières de la Chambre des loueurs. La profession lui doit également la création du Comité de réflexion pour la location, organisation qui a permis à cette profession de s’adapter aux mutations de la réglementation vers une libéralisation du marché, rappelle Georges Drouin, qui l’a accompagné plus tard au sein de la CLTI (Chambre des loueurs et transporteurs industriels), organisation née sur les fonts baptismaux de la Chambre des loueurs et passerelle vers ce qui deviendra TLF. « Jean était un homme discret, refusant les honneurs et les médailles, rappelle Georges Drouin. L’une des décisions les plus importantes que nous avons eues à proposer au conseil d’administration fut la demande d’étendre la responsabilité de la chambre syndicale dans le domaine du transport routier au-delà de la location de véhicules, ce qui engendra une forte tension vis-à-vis des autres organisations professionnelles représentatives. » Très attristé de la disparition de « cet homme délicieux, d’exception », Georges Drouin se souvient d’un compagnon qui, à ses heures perdues, maniait la poésie avec talent.

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