Suez a signé un partenariat avec la société sud-coréenne NK, spécialisée dans la fourniture d'équipements destinés au traitement des eaux de ballast, nouvelle étape dans le renforcement du groupe français sur ce marché bientôt soumis à de nouvelles règles au niveau mondial.
Suez a annoncé jeudi 13 octobre un partenariat avec le sud-coréen NK dans le traitement des eaux de ballast. Avec ce partenariat d'une durée de cinq ans, Suez et NK renforcent une collaboration déjà existante qui leur a permis de développer une technologie innovante de traitement des eaux de ballast à l'aide de générateurs d'ozone, indique Suez. Les deux groupes ont déjà vendu 400 unités dans le monde.
"La coopération avec NK permettra de faire naître des synergies s'appuyant sur l'expertise technique, les installations et les plateformes commerciales respectives de chacun des partenaires. Les deux entreprises continueront à investir et à optimiser leurs technologies, à travers la R&D notamment", précise Suez.
Le groupe français dispose actuellement d'un site de production en Chine sur ce segment. Il a aussi investi en 2012, via son fonds Blue Orange, dans la société norvégienne Redox Maritime Technologies, spécialisée dans le traitement de ces eaux.
Obligation à partir de septembre 2017
Les eaux de ballast sont l'eau de mer utilisée par les bateaux, notamment les navires marchands, pour assurer leur stabilité. Elle sont traditionnellement rejetées lors de leur arrivée dans les ports, devenant source de pollution. 52 pays membres de l'Organisation maritime internationale se sont mis d'accord le mois dernier pour rendre obligatoire le traitement de ces eaux à partir de septembre 2017.
"La coopération avec NK permettra de faire naître des synergies s'appuyant sur l'expertise technique, les installations et les plateformes commerciales respectives de chacun des partenaires. Les deux entreprises continueront à investir et à optimiser leurs technologies, à travers la R&D notamment", précise Suez.
Le groupe français dispose actuellement d'un site de production en Chine sur ce segment. Il a aussi investi en 2012, via son fonds Blue Orange, dans la société norvégienne Redox Maritime Technologies, spécialisée dans le traitement de ces eaux.
Obligation à partir de septembre 2017
Les eaux de ballast sont l'eau de mer utilisée par les bateaux, notamment les navires marchands, pour assurer leur stabilité. Elle sont traditionnellement rejetées lors de leur arrivée dans les ports, devenant source de pollution. 52 pays membres de l'Organisation maritime internationale se sont mis d'accord le mois dernier pour rendre obligatoire le traitement de ces eaux à partir de septembre 2017.