Stéphane Salvetat, le président du STM, estime avoir eu gain de cause sur de nombreux dossiers. Ce qui encourage l'association professionnelle à conserver sa position de force de proposition vis-à-vis des autres professions et des institutions et à améliorer sa visibilité.
Que ce soit au plan national ou au plan local, le Syndicat des transitaires de Marseille-Fos (STM) continue de défendre la profession qu'il représente. Tel est le cas des problèmes d'accès routiers rencontrés sur le terminal de Fos opéré par Port Synergy-Eurofos. Il estime que, suite aux négociations menées avec l'opérateur, la fluidité est de retour.
Autre sujet sur lequel le STM a travaillé au cours de l'année, le Hangar 17 du port de Marseille-Fos. "Le Point unique de contrôle (Puc) ouvrira au deuxième trimestre 2018". Selon le président de l'association professionnelle, il s'agira d'un grand progrès pour les transitaires marseillais. Il souligne également que la commission Fruits et légumes du syndicat s'est battue pour la compétitivité du port phocéen.
Et de citer l'exemple des trafics de poisson qui transitaient pour l'essentiel par Rotterdam ou par Sines. Deux ports qui se montraient beaucoup moins rigoureux en matière de contrôle que la France, indique Stéphane Salvetat. Selon lui, les taux s'élevaient à 30 % seulement aux Pays-Bas et au Portugal contre 100 % en France. Autre cas sur lequel le STM a obtenu de l'État "un lissage des contrôles", les volumes de tomates, captées jusqu'ici par le port italien de Gênes.
Le président du STM estime que, "vu que l'État se désengage de certains dossiers, le rôle des associations est de prendre le relais". Selon lui, c'est ce qui a incité le syndicat professionnel à investir dans le matériel informatique du Service d’inspection vétérinaire et phytosanitaire aux frontières (Sivep). Un service pour lequel il a financé un ordinateur et une imprimante.
"Le dialogue se renoue avec TLF Overseas"
En marge de ces dossiers, le STM souhaite améliorer sa visibilité vis-à-vis de l'État et de Bruxelles, notamment. Pour ce faire, il a créé un nouveau site internet, qui sera opérationnel en novembre. D'autre part, l'association des transitaires entend mieux se faire connaître également vis-à-vis de l'hinterland.
Marie-Hélène Pasquier, secrétaire général de l'UMF, et le président du STM rappellent avoir rencontré en juin à Marseille une délégation de Logistics Alliance Germany. Une association avec laquelle un contrat de coopération devrait être signé en janvier 2018.
Autre sujet sur lequel le STM a travaillé au cours de l'année, le Hangar 17 du port de Marseille-Fos. "Le Point unique de contrôle (Puc) ouvrira au deuxième trimestre 2018". Selon le président de l'association professionnelle, il s'agira d'un grand progrès pour les transitaires marseillais. Il souligne également que la commission Fruits et légumes du syndicat s'est battue pour la compétitivité du port phocéen.
Et de citer l'exemple des trafics de poisson qui transitaient pour l'essentiel par Rotterdam ou par Sines. Deux ports qui se montraient beaucoup moins rigoureux en matière de contrôle que la France, indique Stéphane Salvetat. Selon lui, les taux s'élevaient à 30 % seulement aux Pays-Bas et au Portugal contre 100 % en France. Autre cas sur lequel le STM a obtenu de l'État "un lissage des contrôles", les volumes de tomates, captées jusqu'ici par le port italien de Gênes.
Le président du STM estime que, "vu que l'État se désengage de certains dossiers, le rôle des associations est de prendre le relais". Selon lui, c'est ce qui a incité le syndicat professionnel à investir dans le matériel informatique du Service d’inspection vétérinaire et phytosanitaire aux frontières (Sivep). Un service pour lequel il a financé un ordinateur et une imprimante.
"Le dialogue se renoue avec TLF Overseas"
En marge de ces dossiers, le STM souhaite améliorer sa visibilité vis-à-vis de l'État et de Bruxelles, notamment. Pour ce faire, il a créé un nouveau site internet, qui sera opérationnel en novembre. D'autre part, l'association des transitaires entend mieux se faire connaître également vis-à-vis de l'hinterland.
Marie-Hélène Pasquier, secrétaire général de l'UMF, et le président du STM rappellent avoir rencontré en juin à Marseille une délégation de Logistics Alliance Germany. Une association avec laquelle un contrat de coopération devrait être signé en janvier 2018.