Pour le président du Syndicat des transitaires de Marseille-Fos, Stéphane Salvetat, le transport conventionnel n'appartient pas au passé. Ce secteur constitue encore "une fenêtre de tir, une activité de niche" pour la profession qu'il représente comme pour les autres professionnels portuaires tels que les manutentionnaires.
Selon le président du Syndicat des transitaires de Marseille-Fos (STM), il y a deux types de transport conventionnel : les lots qu'on embarque sur des navires rouliers tels que ceux de l'armateur italien Grimaldi et le lo-lo, mis à bord de véritables navires conventionnels.
Stéphane Salvetat souligne que des lots de conventionnel sont embarqués vers la Méditerranée orientale et le Maghreb mais il regrette que ces opérations soient moins courantes aujourd'hui qu'elles ne l'étaient par le passé.
"Nous devons réapprendre à en faire. Il y a des navires qui arrivent pleins et qui repartent vides. Nous avons Iter, qui reste emblématique. Mais il faut en faire plus à Marseille-Fos", indique-t-il.
D'après lui, des lots sont opérés aussi bien dans les bassins Ouest que dans les bassins Est du GPMM (des installations dont il souligne la complémentarité), mais également dans des ports tels que Toulon ou Sète.
Stéphane Salvetat souligne que des lots de conventionnel sont embarqués vers la Méditerranée orientale et le Maghreb mais il regrette que ces opérations soient moins courantes aujourd'hui qu'elles ne l'étaient par le passé.
"Nous devons réapprendre à en faire. Il y a des navires qui arrivent pleins et qui repartent vides. Nous avons Iter, qui reste emblématique. Mais il faut en faire plus à Marseille-Fos", indique-t-il.
D'après lui, des lots sont opérés aussi bien dans les bassins Ouest que dans les bassins Est du GPMM (des installations dont il souligne la complémentarité), mais également dans des ports tels que Toulon ou Sète.