Au Togo, Lomé Container Terminal (LCT), un des terminaux gérés par le Port autonome, dispose depuis le mois de juin de nouveaux outillages. Une stratégie d'investissements sur laquelle le terminal continue de compter pour traiter deux fois plus de conteneurs à l'horizon 2032.
Deux nouvelles grues mobiles de marque Liebherr ont été réceptionnées en février et mises en service en mai par Lomé Terminal Container. Elles offrent chacune une capacité de levage de 100 tonnes et une portée maximale de 66 mètres. Cinq grues de parc de type RTG, deux chariots élévateurs et dix remorques ont également été livrés sur le terminal togolais.
Au-delà de ces nouveaux outillages, dix camions, de marque Terberg, sont arrivés et ont été mis en service en mai. Ces nouveaux équipements portent à 80 le nombre de camions sur le terminal. Lomé Container Terminal poursuit ainsi l’accroissement de sa flotte d’équipements visant à augmenter la capacité de ses installations et d'accompagner la croissance de son trafic. Il prévoit d'atteindre 4 millions d'EVP en 2032.
Deux places au Top 100 mondial
Selon l’édition 2022 de Lloyd’s List, le port de Lomé s'est situé l'an dernier à la quatre-vingt-seizième place des ports mondiaux. Il a ainsi gagné deux places par rapport à 2020. En effet, le volume de conteneurs traité en 2021, selon la revue britannique, est passé à 1,9 million d'EVP, en hausse de 13,7 % par rapport à 2020.
Lomé Container Terminal (LCT), l’opérateur né d'une concession de trente-cinq ans signée avec le gouvernement du Togo, appartient à 100% au groupe TIL (groupe MSC). D’une capacité de 2,2 millions EVP, le terminal est principalement dédié aux opérations de transbordement pour le compte du premier transporteur maritime mondial. Un coût global estimé à 352 millions d'euros, financé pour 28 % par des fonds propres et pour 72 % par de la dette senior.
Un nouveau port sec
Depuis janvier 2022, le Togo s'est doté d’un port sec situé sur la plateforme industrielle d’Adetikopé (PIA). L'infrastructure s’étale sur 20 hectares et dispose d'une capacité de 12.500 conteneurs. Son ouverture a permis notamment de décongestionner le port de Lomé, en servant de plateforme de manutention et de transbordement des marchandises en provenance ou à destination du port, au profit des pays de l’hinterland.
Avec la cession des activités africaines de Bolloré, MSC va se trouver en position de monopole dans le secteur de la manutention à Lomé. Une idée à laquelle les portuaires togolais vint devoir s'accoutumer.
Au-delà de ces nouveaux outillages, dix camions, de marque Terberg, sont arrivés et ont été mis en service en mai. Ces nouveaux équipements portent à 80 le nombre de camions sur le terminal. Lomé Container Terminal poursuit ainsi l’accroissement de sa flotte d’équipements visant à augmenter la capacité de ses installations et d'accompagner la croissance de son trafic. Il prévoit d'atteindre 4 millions d'EVP en 2032.
Deux places au Top 100 mondial
Selon l’édition 2022 de Lloyd’s List, le port de Lomé s'est situé l'an dernier à la quatre-vingt-seizième place des ports mondiaux. Il a ainsi gagné deux places par rapport à 2020. En effet, le volume de conteneurs traité en 2021, selon la revue britannique, est passé à 1,9 million d'EVP, en hausse de 13,7 % par rapport à 2020.
Lomé Container Terminal (LCT), l’opérateur né d'une concession de trente-cinq ans signée avec le gouvernement du Togo, appartient à 100% au groupe TIL (groupe MSC). D’une capacité de 2,2 millions EVP, le terminal est principalement dédié aux opérations de transbordement pour le compte du premier transporteur maritime mondial. Un coût global estimé à 352 millions d'euros, financé pour 28 % par des fonds propres et pour 72 % par de la dette senior.
Un nouveau port sec
Depuis janvier 2022, le Togo s'est doté d’un port sec situé sur la plateforme industrielle d’Adetikopé (PIA). L'infrastructure s’étale sur 20 hectares et dispose d'une capacité de 12.500 conteneurs. Son ouverture a permis notamment de décongestionner le port de Lomé, en servant de plateforme de manutention et de transbordement des marchandises en provenance ou à destination du port, au profit des pays de l’hinterland.
Avec la cession des activités africaines de Bolloré, MSC va se trouver en position de monopole dans le secteur de la manutention à Lomé. Une idée à laquelle les portuaires togolais vint devoir s'accoutumer.