Intégré dans la ville, le port de Nice souhaite limiter les nuisances liées aux trafics maritimes des car-ferries pour la Corse, de la croisière ou du fret.
La Métropole Nice-Côte d’Azur, propriétaire du port depuis 2017, et la CCI Nice-Côte d’Azur, son gestionnaire, ont dévoilé en août une série de mesures pour réduire les nuisances. Le plan va favoriser l’alimentation électrique à quai des grosses unités, la généralisation du carburant à 0,1 % de soufre, une norme de bruit pour les ports et une charte Euroméditerranée. Si la pollution au port de Nice est inférieure à celle qu’on rencontre sur ceux de Marseille et Toulon, elle est moins supportée en raison du caractère très urbain de l’infrastructure.
Parmi les mesures préconisées figurent l’installation sur les quais de stations électriques pour les plus grosses unités afin de leur éviter ainsi d’utiliser leurs générateurs. Un premier poste d’une puissance de 1.200 ampères pour navire de 110 mètres a été mis en service cet été. La Métropole va rencontrer les dirigeants de Corsica Ferries pour exiger des car-ferries l’utilisation de ces branchements électriques durant leur escale. La Métropole envisage d’installer des groupes électrogènes fonctionnant au biogaz naturel liquéfié ou à l’hydrogène, en cohérence avec les initiatives des villes portuaires de Bastia, Ajaccio, Toulon.
Parmi les mesures préconisées figurent l’installation sur les quais de stations électriques pour les plus grosses unités afin de leur éviter ainsi d’utiliser leurs générateurs. Un premier poste d’une puissance de 1.200 ampères pour navire de 110 mètres a été mis en service cet été. La Métropole va rencontrer les dirigeants de Corsica Ferries pour exiger des car-ferries l’utilisation de ces branchements électriques durant leur escale. La Métropole envisage d’installer des groupes électrogènes fonctionnant au biogaz naturel liquéfié ou à l’hydrogène, en cohérence avec les initiatives des villes portuaires de Bastia, Ajaccio, Toulon.