Bien qu'ayant réalisé au premier trimestre un Ebitda en forte hausse, le groupe AP Møller-Maersk reste prudent pour le restant de l'année. Le premier armateur mondial redoute les tensions du marché et les perspectives de l'entrée en vigueur de la réglementation de l'OMI au 1er janvier 2020 en matière de carburants.
Le groupe danois AP Møller-Maersk a enregistré au cours du premier trimestre un excédent brut d'exploitation (Ebitda) en hausse de 33 %, à 1,2 milliard de dollars, par rapport aux trois premiers mois de 2018. Son chiffre d'affaires a progressé de 2,5 % pour atteindre 9,5 md USD. À 1,5 md USD, son cash flow opérationnel d'exploitation a connu une forte hausse tandis que son cash flow a atteint la somme de 3,5 md USD.
Le directeur général du groupe danois, Søren Skou, estime que le groupe a réalisé des progrès en ayant "achevé la séparation des activités énergétiques, intégré notre organisation et continué à améliorer notre portefeuille de produits".
Bond de l'Ebitda portée par la hausse des taux de fret
À 927 M USD, l'Ebitda du premier armateur mondial a enregistré une croissance de 42 % par rapport aux trois premiers mois de 2018. Une progression portée par la hausse des taux de fret moyens et par une amélioration des coûts d'exploitation de 2,8 %. Son chiffre d'affaires a atteint 6,9 md USD malgré une léger recul de 2,2 % des volumes transportés en raison de la faiblesse de la demande sur les marchés sud-américain et océanien.
Selon le groupe, le conteneur sur le marché Est-Ouest a affiché une progression de 2 % par rapport au premier trimestre 2018. Les flux à l'import d'Asie ont connu une accélération de 7,1 %, illustrant une hausse des ventes en Europe malgré la baisse du marché industriel en Europe en raison des négociations dans le cadre du Brexit et du déclin de l'économie turque. La filiale d'AP Møller-Maersk a en outre constaté qu'à l'import des États-Unis, les flux conteneurisés ont baissé de 3 % et que le marché Nord-Sud a reculé de 1,4 %.
Le directeur général du groupe danois, Søren Skou, estime que le groupe a réalisé des progrès en ayant "achevé la séparation des activités énergétiques, intégré notre organisation et continué à améliorer notre portefeuille de produits".
Bond de l'Ebitda portée par la hausse des taux de fret
À 927 M USD, l'Ebitda du premier armateur mondial a enregistré une croissance de 42 % par rapport aux trois premiers mois de 2018. Une progression portée par la hausse des taux de fret moyens et par une amélioration des coûts d'exploitation de 2,8 %. Son chiffre d'affaires a atteint 6,9 md USD malgré une léger recul de 2,2 % des volumes transportés en raison de la faiblesse de la demande sur les marchés sud-américain et océanien.
Selon le groupe, le conteneur sur le marché Est-Ouest a affiché une progression de 2 % par rapport au premier trimestre 2018. Les flux à l'import d'Asie ont connu une accélération de 7,1 %, illustrant une hausse des ventes en Europe malgré la baisse du marché industriel en Europe en raison des négociations dans le cadre du Brexit et du déclin de l'économie turque. La filiale d'AP Møller-Maersk a en outre constaté qu'à l'import des États-Unis, les flux conteneurisés ont baissé de 3 % et que le marché Nord-Sud a reculé de 1,4 %.