Ils ont un historique avec leur passé industrialo-portuaire. Ils ont du foncier disponible, actuel facteur limitant pour la réindustrialisation. Il s’y passe des choses autour des énergies décarbonées. Un certain génie industriel est prêt à s’y exprimer. Dans la course européenne à la réindustralisation, les ports français ne sont pas les plus mal lotis.
En France, l’industrie sort d’un long hiver et veut croire à son Grand Soir. En attendant, elle vit une certaine renaissance et tous ses indicateurs – implantations, attractivité, investissements étrangers… – se réveillent. De quoi donner au pays une foi de charbonnier pour évangéliser le marché à l’idée qu’il y fait bon investir. À condition d’y trouver un bout de pelouse industrielle qui n’implique pas 30 mois de délai avant de démarrer les lignes de production.La France est depuis plus de deux ans la première destination européenne des investissements internationaux et première…
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