2019 fut une année particulière pour le port aquitain, marquée par la réorganisation de l’activité de manutention (la société Bordeaux Atlantique Terminal a été reprise par le port fin 2018), un changement de gouvernance et une longue mise en place du Conseil de surveillance. S’y sont greffées des tendances qui se confirment d’année en année et sur ses secteurs clés. Les importations d’hydrocarbures accusent un nouveau fléchissement (– 58 000 t, à 3,5 Mt). Les exports de céréales qui, il y a cinq ans, flirtaient avec 1 Mt, ont atteint 570 000 t. Par ailleurs, à 400 000 t, les marchandises diverses dévissent de 28 %. Dans le futur plan stratégique 2020-2025, le port mettra notamment le cap sur les marchés vrac, la création d’un pôle bois, le développement de la croisière avec un projet de terminal dédié à Pauillac…