S’ils n’avaient évidemment pas les mêmes comptes d’exploitation fin 2018, ils ont bien subi les mêmes conditions de marché. L’augmentation du pétrole a renchéri les coûts de soute (aucun n’a parlé de la couverture par les surcharges bunker). Les taux de fret et les revenus par conteneur transporté sont restés sous pression, d’une faible croissance de la demande (+ 4,8 %) et d’une offre excédentaire (+ 5,7 %). Ces effets négatifs ont été partiellement compensés par l’augmentation des volumes de transport. Ils sont néanmoins tous « prudemment optimistes » pour 2019.
Compagnies
Un peu mieux
Article réservé aux abonnés