Ce trafic se décompose de la manière suivante: 14,1 Mt traitées en maritime (+ 2,7 %) et 11,2 Mt en trafic fluvial (+ 7,09 %.) Pendant cette période, des records ont pu être enregistrés avec les trafics en conventionnel et vracs liquides. En maritime, le trafic à l’importation est en augmentation de 74 %, contre 26 % à l’exportation.
Le port de Gand confirme ainsi la reprise des trafics qui s’était manifestée lors du premier trimestre avec 12,6 Mt (+ 5,4 %). Cette année, le deuxième trimestre aura été le meilleur enregistré au cours des dernières années. Il a été clôturé avec un trafic global de 12,7 Mt (+ 3,8 %). La croissance s’est surtout manifestée du côté du trafic maritime: 7,3 Mt (+ 4,8 %), contre une hausse de 2,5 % à 5,4 Mt pour le fluvial.
Les relations entre Gand et la Grande-Bretagne portent essentiellement sur des trafics shortsea et se situent aux environs de 1,5 Mt. En d’autres mots, un éventuel impact du Brexit aura peu d’importance.
Nouveaux développements chez Volvo Cars
Le port investit quelque 600 000 € dans le secteur des infrastructures portuaires, c’est-à-dire les liaisons routières. Cela permet notamment aux entreprises automobiles Volvo Cars et Honda, très proches l’une de l’autre, de procéder à des accords. Ainsi Volvo Car, qui a pris en septembre une concession partielle de Honda, a la possibilité de gagner une superficie de 15 000 m2, surface nécessaire pour l’extension de ses activités qui vont évoluer. Dès 2019, ce constructeur se consacrera à la seule production d’une gamme de voitures compactes. Pour ce faire, 200 M€ seront investis.