Éoliennes et hydroliennes: il faut aller vite

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La concertation publique pour l’extension du port de commerce de Cherbourg est lancée cette semaine. But de l’opération, consulter les usagers du port et la population alentour dans le but de gagner sur la mer 35 ha de terre-pleins supplémentaires dans la zone est du port de commerce. Une opération de 60 M€ qui vient s’ajouter aux 40 M€ d’investissement déjà programmés pour prolonger un quai de débarque. Ports Normands Associés (PNA), gestionnaire du port, ainsi que le conseil régional de Basse-Normandie, le conseil général de la Manche et la communauté urbaine de Cherbourg veulent aller vite. En 2015, les premières usines d’éoliennes offshore du consortium EDF-Alstom doivent sortir de terre et commencer à produire. Mais c’est aussi l’industrie hydrolienne qui motive les gestionnaires du port. Proche du raz de Blanchard, au large du cap de La Hague, Cherbourg est en effet idéalement placé pour accueillir une activité de construction, maintenance et exploitation d’une ferme hydrolienne. Par ailleurs, du fait de cet emplacement géographique optimal, les industriels français comptent se positionner sur l’énorme marché des énergies marines renouvelables britanniques. Un marché estimé a plus de vingt fois celui du marché français.

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