Création du Zeebrugge Breakbulk Terminal

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Le projet d’un terminal conventionnel à Zeebrugge est entré dans la phase de la concrétisation. Au départ, le manutentionnaire ICI (International Car Operators) était le seul animateur; son partenaire, Rhenus Holding Belgium, adoptait une position d’attente. La crise économique étant passée, ce dernier s’est engagé dans la mise en place d’une joint-venture (ZBT) à 50/50. Le capital de la société est de 62 000 €, le minimum. Ledit terminal sera opérationnel autour de certaines sections du fond de la darse nord de l’arrière-port, qui présente un quai de 300 m, un quai de retour avec plan incliné pour trafic roulier, et un autre quai de 600 m. Le site a une superficie de 43 ha sur lequel se trouvent des entrepôts. Des grues de quai sont sur place de même que divers équipements de manutention. ICO traite à cet endroit des trafics de voitures qui seront transférés à son grand terminal automobile du quai de Bastogne.

Une équipe composée de commerciaux de Rhenus et d’ICO a été constituée pour la commercialisation de ce terminal. La prospection a déjà démarré en Chine et en Russie. Certains trafics propres à ICO (trafic de pommes de terre, qui va être développé) sont intégrés dans les accompaactivités de la joint-venture. L’objectif est de chercher de nouveaux marchés qui ne concernent pas Anvers. Les responsables ne s’attendent pas à l’apparition d’importants contrats avant le second semestre de 2011. Il faudra alors engager du personnel, procéder à une augmentation de capital en fonction des nouveaux investissements qui seront nécessaires. Zeebrugge traite déjà un trafic en conventionnel/breakbulk qui a atteint 866 000 t en 2009 (+ 1,7 %).

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