Le contour des négociations de transfert est connu

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Début juillet, les parties doivent s'être accordées sur un schéma qui ne sera sans doute mis en application qu'au dernier moment, le plus près possible d'une éventuelle reprise économique. Quatre terminaux sont concernés : les vracs du port central exploités avec une prestation de Sea-Bulk (un GIE détenu par Sea-Invest et le GPM), les aciers du quai de l'Escaut aux mains de STE qu'opère Atic Services, le quai F13 dont Dewulf-Cailleret (groupe Bolloré) est titulaire avec sa filiale de manutention Cogema, et Barra SNM, titulaire du terminal F12. Les autres terminaux sont opérés par des opérateurs unifiés ou déjà aux mains de groupes privés. De plus, 44 conducteurs de grues du GPM peuvent être détachés auprès des terminaux. 11 engins sont concernés, évalués en premier lieu à 15 Me. Une évaluation contradictoire suivra, arbitrée par la Commission nationale des outillages. La CGT majoritaire chez les grutiers du GPM souhaite leur détachement dans un pool géré par une structure indépendante des entreprises, « pour gérer les à coups de la demande, et permettre aux grutiers de faire leur métier sur des matières différentes », affirme Didier Fauconnier, secrétaire du syndicat. Frank Gonsse, secrétaire de la CSOPMI, le syndicat docker, s'en tient aux accords de place. Le président du syndicat des manutentionnaires, le SPEM, indique que les entreprises « appliqueront la loi ». Des groupes de travail fonctionnent sur « l'accompagnement social » du processus, indique Martine Bonny, présidente du directoire du GPM. A.S.

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