Pour assurer une production allant jusqu’à 400 000 véhicules par an, pas moins de 300 EVP chargés de pièces détachées, composants, matériaux d’habillage, pneumatiques et autres accessoires seront déchargés chaque jour. Et, à l’export, un navire quotidien sera nécessaire pour emporter les 1 500 véhicules assemblés par les deux lignes de montage, l’une pour Renault et l’autre pour Nissan.
Outre les problèmes de flotte maritime qui restent à régler, le groupe Renault aura également à faire face sur place à une logistique à créer de toutes pièces: le transport routier (camions vieillissants et infrastructures) et, surtout, un réseau de sous-traitants encore inexistant. Avec cette implantation au Maroc, Renault compte créer 6 000 emplois directs.