De six navires en propriété, il est maintenant question de passer à 22 vraquiers: 11 supramax, 4 panamax et 1 cimentier pour Lafarge. Ainsi le chiffre d’affaires du vrac sera-t-il réalisé à hauteur de 55 % par des navires en propriété, 15 % en affrètement à long terme et le solde, au spot. Hors acomptes sur commandes en cours au 31 décembre dernier, 300 M€ seront investis dans les 16 nouveau navires. Le président prévoit un objectif de rentabilité des capitaux de 29 % (EBITDA/capitaux engagés)! Contre 17 % pour l’offshore sous toutes ses formes; comme quoi, la vieille économie a de beaux restes. Soucieux de ses actionnaires, Bourbon espère leur servir un rendement annuelle au moins 20 % vers 2012.
Compagnies
Le vrac sec: la vache à lait du groupe?
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