La combine était employée par tous sur la place se défendent les trois transitaires marseillais devant le tribunal. Pris la main dans le sac en 2000, ils minoraient la valeur des marchandises en partance vers l’Algérie. Du coup, l’importateur algérien payait moins de droits aux douanes et le professionnel fidélisait sa clientèle. La pratique, qui n’existerait plus, a été sanctionnée par de la prison avec sursis et une cinquantaine de milliers d’euros d’amende à payer aux douanes.
Ports
Combine sur l’Algérie
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