Lors d’une réunion des professionnels portuaires, le président du PAD François Soulet de Brugières a clairement exprimé son point de vue sur le fonctionnement du "Poste d’inspection frontalier vétérinaire" (Pif).
Le Pif pose problème par son manque d’effectifs et le peu de disponibilité qui en découle, sa non-mobilité et l’interprétation des textes jugée très restrictive par les professionnels. Face à la concurrence de Zeebrugge et d’Anvers, les produits frais et surgelés ont besoin d’autre chose pour se développer.
Les transitaires, évoquant ce problème lors de leur assemblée générale, souhaitent la mise en place avec les services vétérinaires d’une concertation analogue à celle qui "réussit si bien" avec les Douanes.