"L’État n’est, en général, pas un mauvais actionnaire mais c’est un mauvais patron à cause de la trop grande dispersion de la décision", a expliqué le p.-d.g. de Veolia transports. "La valse des dirigeants de la SNCM et le contournement de ses dirigeants par les syndicats qui jouaient avec succès la carte des cabinets ministériels excluaient toute gestion saine du dossier."
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L’État, mauvais patron
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