En 1986, à Morges, le chantier Charpentiers-Sud a compté parmi les plus impressionnants menés en Suisse cette année-là. La construction du parking souterrain, dont le dernier niveau se situait à 18 m sous terre, a notamment nécessité la construction d’une rampe métallique que les camions bennes devaient emprunter à vide à la descente et en charge dans l’autre sens.
Le Journal de Morges, qui suivait de près l’avancée des travaux, en avait rapporté ce beau reportage photographique, réalisé entre le printemps et la mi-novembre 1986.
Pour évacuer les quelque 100 000 m3 de déblais, de dix à vingt camions étaient mobilisés quotidiennement, principalement des 6x4 mais aussi des 8x4.
Un Mercedes 6x4 attend son tour, alors qu’un Volvo N12 est engagé sur la rampe. En sortie de fouille, les modèles à cabine avancée disposaient d’un gros avantage de visibilité par rapport à ceux à capot, encore assez courant à cette époque, en Suisse comme en France.
Enfin, souvenir d’un autre temps : nous sommes aux États-Unis, dans les années 1930, le camion est un Mack, à transmission par chaînes, et la rampe est en bois, mais le principe reste le même. Mieux valait qu'il ne pleuve pas parce que les roues à bandage ne brillaient pas spécialement par leur qualité d'adhérence.
Le Journal de Morges, qui suivait de près l’avancée des travaux, en avait rapporté ce beau reportage photographique, réalisé entre le printemps et la mi-novembre 1986.
Pour évacuer les quelque 100 000 m3 de déblais, de dix à vingt camions étaient mobilisés quotidiennement, principalement des 6x4 mais aussi des 8x4.
Un Mercedes 6x4 attend son tour, alors qu’un Volvo N12 est engagé sur la rampe. En sortie de fouille, les modèles à cabine avancée disposaient d’un gros avantage de visibilité par rapport à ceux à capot, encore assez courant à cette époque, en Suisse comme en France.
Enfin, souvenir d’un autre temps : nous sommes aux États-Unis, dans les années 1930, le camion est un Mack, à transmission par chaînes, et la rampe est en bois, mais le principe reste le même. Mieux valait qu'il ne pleuve pas parce que les roues à bandage ne brillaient pas spécialement par leur qualité d'adhérence.