Bien que ce ne soit pas vrai pour tout le monde, on peut encore, en cette fin de mois d’août, se considérer un peu en vacances. Une occasion donc de voyager, dans l’espace et dans le temps.
Et comme le fond de l’air reste plutôt chaud, voici de quoi se rafraîchir. Avec, pour commencer, un passage de col hivernal. Sous le soleil, mais sur la neige.
Nous sommes là au col de Julier, en Suisse, à 2 284 m d’altitude, vers 1968, où un OM Titano italien fait une pause. Ce tracteur était alors l’un des plus puissants d’Europe. Ses 260 ch étaient obtenus à l’aide d’un compresseur volumétrique très efficace, commandé au tableau de bord. Système fiable... à condition de l’utiliser avec discernement.
Restons en hiver, à la montagne, mais cette fois en France, avec ce petit camion Unic qui pourrait être un MZ 36 ou 37, ou un Vosges P6 ou P8, tous modèles de la même famille ayant fait une carrière honorable dans les années 1960/1970. Tout avait pourtant mal commencé pour eux. Conçus par Fiat, ils étaient initialement destinés au marché italien où la clientèle avait alors massivement et définitivement basculé en faveur des cabines avancées. Invendables dans la Péninsule, ils ne l’étaient cependant pas France et Unic, qui appartenait alors au groupe Fiat, récupéra toute la ligne de production. Elle restera au catalogue jusqu’au début des années 1970.
Nous ne sommes plus en hiver, mais l’imposant glacier, visible à l’arrière-plan, a de quoi rafraîchir. On voit ici deux Unimog d’une entreprise de Zermatt, en Suisse, opérant en haute montagne. La scène se déroule à la toute fin des années 1950 et ces Unimog sont des modèles de première génération, produits par Mercedes mais identiques aux véhicules créés et fabriqués par Boehringer à partir de 1948. Quatre roues motrices, 25 ch et 3,5 m de long, la légende Unimog était en train de naître.
Retour dans la vallée d’où l’on aperçoit, au loin, les sommets enneigés. Ce MAN à capot circule en 1963 dans la région de Garmisch-Partenkirchen, dans les Alpes bavaroises. Il s’agit d’un 770 HS motorisé par un 6 cylindres en ligne de 172 ch. Sa cabine à capot, modernisée en 1969, sera très utilisée sur les versions de chantier, y compris en France où Saviem les diffusera jusqu'à la fusion avec Berliet.
Et comme le fond de l’air reste plutôt chaud, voici de quoi se rafraîchir. Avec, pour commencer, un passage de col hivernal. Sous le soleil, mais sur la neige.
Nous sommes là au col de Julier, en Suisse, à 2 284 m d’altitude, vers 1968, où un OM Titano italien fait une pause. Ce tracteur était alors l’un des plus puissants d’Europe. Ses 260 ch étaient obtenus à l’aide d’un compresseur volumétrique très efficace, commandé au tableau de bord. Système fiable... à condition de l’utiliser avec discernement.
Restons en hiver, à la montagne, mais cette fois en France, avec ce petit camion Unic qui pourrait être un MZ 36 ou 37, ou un Vosges P6 ou P8, tous modèles de la même famille ayant fait une carrière honorable dans les années 1960/1970. Tout avait pourtant mal commencé pour eux. Conçus par Fiat, ils étaient initialement destinés au marché italien où la clientèle avait alors massivement et définitivement basculé en faveur des cabines avancées. Invendables dans la Péninsule, ils ne l’étaient cependant pas France et Unic, qui appartenait alors au groupe Fiat, récupéra toute la ligne de production. Elle restera au catalogue jusqu’au début des années 1970.
Nous ne sommes plus en hiver, mais l’imposant glacier, visible à l’arrière-plan, a de quoi rafraîchir. On voit ici deux Unimog d’une entreprise de Zermatt, en Suisse, opérant en haute montagne. La scène se déroule à la toute fin des années 1950 et ces Unimog sont des modèles de première génération, produits par Mercedes mais identiques aux véhicules créés et fabriqués par Boehringer à partir de 1948. Quatre roues motrices, 25 ch et 3,5 m de long, la légende Unimog était en train de naître.
Retour dans la vallée d’où l’on aperçoit, au loin, les sommets enneigés. Ce MAN à capot circule en 1963 dans la région de Garmisch-Partenkirchen, dans les Alpes bavaroises. Il s’agit d’un 770 HS motorisé par un 6 cylindres en ligne de 172 ch. Sa cabine à capot, modernisée en 1969, sera très utilisée sur les versions de chantier, y compris en France où Saviem les diffusera jusqu'à la fusion avec Berliet.