Avant de débuter ce challenge du Conducteur de l’année FranceRoutes 2018, Kimberley Podeur, l'une des deux femmes inscrites, a accepté de nous parler de ses motivations.
Kimberley est conductrice de camion remorque chez Trans'Horses, acteur incontournable du transport de chevaux en France (plusieurs milliers d’équidés véhiculés chaque année). La société emploie 8 chauffeurs, dont 2 femmes.
Selon Christophe Austry, le dirigeant de l’entreprise, le métier de conducteur dans le transport de chevaux nécessite de multiples qualités. Il est nécessaire de satisfaire aux contraintes de la conduite, mais aussi à celles de soigneur des chevaux. Sans oublier le sens de la relation humaine pour rassurer les propriétaires qui confient leurs animaux.
Il y a fort à parier que Kimberley donnera du fil à retordre aux challengeurs de l'éco-conduite durant ces deux mois d’épreuves !
Pourquoi participez-vous à ce challenge éco-conduite organisé par FranceRoutes ?
Je me suis inscrite sans penser que je serais qualifiée, un peu par hasard. Et voilà, ma candidature ayant été retenue, je me retrouve engagée !
Comment l’envisagez-vous ?
Comme quelque chose d'enrichissant, une nouvelle expérience à vivre.
Risque-t-il de modifier votre quotidien ?
Pas énormément, j'ai toujours fait attention à la consommation de mon véhicule. Je trouve cela très important, surtout actuellement avec le prix du gazole. Mais de la surveiller au quotidien me permettra d’améliorer encore plus ma manière de conduire.
Votre entreprise et vos collègues vous soutiennent-ils ?
Ma participation au concours leur fait plaisir, et bien sûr génère des commentaires. Le soutien viendra avec les résultats, c’est comme dans le sport !
Etes-vous stressée par ce challenge ?
Non sans plus, je prends cela comme une nouvelle expérience enrichissante à vivre. Mon activité nécessite déjà de rester très concentrée sur la sécurité des animaux transportés. Les objectifs se rejoignent avec mes contraintes quotidiennes.
Quelles sont vos astuces et atouts pour réussir ?
J'ai toujours eu une conduite souple et fluide et des consommations assez basses. Les caractéristiques mêmes du transport des chevaux nécessitent l'anticipation et la douceur. Je vais encore plus m’impliquer pour améliorer mes performances.
Selon vous, qu’est-ce qui fera la différence entre les trente candidats ?
La manière de conduire je pense : consommation, fluidité… J’ai beau rouler vite, je n’ai jamais fais tomber quoique ce soit derrière et ma consommation n’a jamais été excessive.
Pourquoi avoir choisi ce type de transport ?
Je suis issue du milieu hippique, c’est une grande passion. Par la suite, j’ai travaillé 8 ans en transport de marchandise. Conduire dans le milieu hippique, c'est un bon moyen de concilier ma profession et cette passion.
Kimberley est conductrice de camion remorque chez Trans'Horses, acteur incontournable du transport de chevaux en France (plusieurs milliers d’équidés véhiculés chaque année). La société emploie 8 chauffeurs, dont 2 femmes.
Selon Christophe Austry, le dirigeant de l’entreprise, le métier de conducteur dans le transport de chevaux nécessite de multiples qualités. Il est nécessaire de satisfaire aux contraintes de la conduite, mais aussi à celles de soigneur des chevaux. Sans oublier le sens de la relation humaine pour rassurer les propriétaires qui confient leurs animaux.
Il y a fort à parier que Kimberley donnera du fil à retordre aux challengeurs de l'éco-conduite durant ces deux mois d’épreuves !
Pourquoi participez-vous à ce challenge éco-conduite organisé par FranceRoutes ?
Je me suis inscrite sans penser que je serais qualifiée, un peu par hasard. Et voilà, ma candidature ayant été retenue, je me retrouve engagée !
Comment l’envisagez-vous ?
Comme quelque chose d'enrichissant, une nouvelle expérience à vivre.
Risque-t-il de modifier votre quotidien ?
Pas énormément, j'ai toujours fait attention à la consommation de mon véhicule. Je trouve cela très important, surtout actuellement avec le prix du gazole. Mais de la surveiller au quotidien me permettra d’améliorer encore plus ma manière de conduire.
Votre entreprise et vos collègues vous soutiennent-ils ?
Ma participation au concours leur fait plaisir, et bien sûr génère des commentaires. Le soutien viendra avec les résultats, c’est comme dans le sport !
Etes-vous stressée par ce challenge ?
Non sans plus, je prends cela comme une nouvelle expérience enrichissante à vivre. Mon activité nécessite déjà de rester très concentrée sur la sécurité des animaux transportés. Les objectifs se rejoignent avec mes contraintes quotidiennes.
Quelles sont vos astuces et atouts pour réussir ?
J'ai toujours eu une conduite souple et fluide et des consommations assez basses. Les caractéristiques mêmes du transport des chevaux nécessitent l'anticipation et la douceur. Je vais encore plus m’impliquer pour améliorer mes performances.
Selon vous, qu’est-ce qui fera la différence entre les trente candidats ?
La manière de conduire je pense : consommation, fluidité… J’ai beau rouler vite, je n’ai jamais fais tomber quoique ce soit derrière et ma consommation n’a jamais été excessive.
Pourquoi avoir choisi ce type de transport ?
Je suis issue du milieu hippique, c’est une grande passion. Par la suite, j’ai travaillé 8 ans en transport de marchandise. Conduire dans le milieu hippique, c'est un bon moyen de concilier ma profession et cette passion.