Renault Trucks voit ses activités impactées par la crise économique mondiale post Covid-19, et par le ralentissement de la demande de véhicules industriels. Le constructeur envisage la suppression de 463 postes en France.
Renault Trucks, filiale du groupe Volvo, envisage de procéder à un ajustement de ses effectifs, en France, afin de restaurer sa compétitivité, et d’assurer son développement sur le long terme. "La crise économique engendrée par la crise sanitaire du Covid-19 va impacter fortement et durablement les résultats de Renault Trucks", annonce le constructeur dans un communiqué publié le 16 juin. Il s’attend "à une baisse significative du marché du camion en 2020 et se prépare à une activité économique qui ne renouera pas, à court et à moyen terme, avec les niveaux d’avant la crise".
Pour faire face à la baisse de revenus et pouvoir continuer d’investir dans son futur, le fabricant de camions français s’emploie à réduire ses coûts. "Renault Trucks envisage d’ajuster son organisation à une demande des marchés plus faible, tout en accélérant sa transformation centrée sur l’expérience clients et conducteurs, et sur la transition énergétique, poursuit la marque au losange. Ceci pourrait conduire à la suppression, en France, de 463 postes, exclusivement des postes d’employés et de cadres".
Les postes de production ne seraient pas concernés. L'effectif du groupe en France, hors réseaux privés de distribution, s'élève à environ 8 350 employés.
Renault Trucks réfléchit, en parallèle, à "créer de nouveaux postes par la ré-internalisation de certaines activités qui permettrait de réduire le nombre de suppression de postes de façon significative".
"Ajuster notre organisation et réduire nos coûts est impératif pour la pérennité de notre entreprise et pour celle de nos partenaires et fournisseurs", souligne Bruno Blin, président de Renault Trucks SAS. "Notre volonté est de nous appuyer uniquement sur des mesures de départs volontaires et des mobilités internes, et ainsi de ne procéder à aucun licenciement contraint".
Renault Trucks, filiale du groupe Volvo, envisage de procéder à un ajustement de ses effectifs, en France, afin de restaurer sa compétitivité, et d’assurer son développement sur le long terme. "La crise économique engendrée par la crise sanitaire du Covid-19 va impacter fortement et durablement les résultats de Renault Trucks", annonce le constructeur dans un communiqué publié le 16 juin. Il s’attend "à une baisse significative du marché du camion en 2020 et se prépare à une activité économique qui ne renouera pas, à court et à moyen terme, avec les niveaux d’avant la crise".
Postes d'employés et de cadres
Pour faire face à la baisse de revenus et pouvoir continuer d’investir dans son futur, le fabricant de camions français s’emploie à réduire ses coûts. "Renault Trucks envisage d’ajuster son organisation à une demande des marchés plus faible, tout en accélérant sa transformation centrée sur l’expérience clients et conducteurs, et sur la transition énergétique, poursuit la marque au losange. Ceci pourrait conduire à la suppression, en France, de 463 postes, exclusivement des postes d’employés et de cadres".
Les postes de production ne seraient pas concernés. L'effectif du groupe en France, hors réseaux privés de distribution, s'élève à environ 8 350 employés.
Renault Trucks réfléchit, en parallèle, à "créer de nouveaux postes par la ré-internalisation de certaines activités qui permettrait de réduire le nombre de suppression de postes de façon significative".
Pas de licenciements contraints
"Ajuster notre organisation et réduire nos coûts est impératif pour la pérennité de notre entreprise et pour celle de nos partenaires et fournisseurs", souligne Bruno Blin, président de Renault Trucks SAS. "Notre volonté est de nous appuyer uniquement sur des mesures de départs volontaires et des mobilités internes, et ainsi de ne procéder à aucun licenciement contraint".
Complément d'information
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