Pour accompagner ses clients dans le contexte actuel d'inflation énergétique et faciliter leur accès aux ZFEm (Zones à Faible Emissions mobilité), Iveco propose via sa captive financière - Iveco Capital - une offre de financement dédiée aux véhicules neufs GNV, permettant de réduire les six premiers loyers sur les véhicules disponibles actuellement dans le réseau, à travers l’offre Order & Drive (véhicules « prêts à partir »).
Ces véhicules peuvent également être accompagnés localement d’aides directes à l’investissement et sont éligibles au suramortissement.
Iveco entend ainsi continuer à soutenir les transporteurs dans leur transition énergétique comme il le fait depuis plus de 20 ans. L'idée étant d'aider les transporteurs à faire face à l'envolée des cours du gaz.
Les véhicules GNV entrent dans la catégorie Crit’Air 1, garantissant aux transporteurs un accès sans contrainte aux ZFEm où ils opèrent. Ils permettent de réduire drastiquement les émissions de polluants locaux, tels que les dioxydes d’azote (NO2) et les particules fines, par rapport à un véhicule diesel de dernière génération, tout en bénéficiant des mêmes performances.
Pour les transporteurs ayant fait le choix du bioGNV, ils permettent également d’éliminer presque totalement les émissions de CO2. Certifiés Pieck Quiet Truck 71 dB, les véhicules GNV permettent d’assurer des livraisons silencieuses de jour comme de nuit.
"L’usage du bioGNV, un carburant issu de la valorisation de nos déchets, amplifie le gain environnemental de ces véhicules, souligne le constructeur. Il contribue également au développement de cette filière, créatrice d’emplois locaux non délocalisables, aux revenus des agriculteurs qui en sont les principaux producteurs et à l’indépendance énergétique de la France".
Par ailleurs, Iveco s’est également engagé dans une démarche visant le développement du biométhane à l’échelle européenne, avec un objectif de production de 35 milliards de m3 au sein de l'Union européenne d'ici 2030 dans le cadre du plan REPowerEU.
Celui-ci prévoit notamment remplacer 20 % des importations de gaz naturel en provenance de Russie par du biogaz, durable, moins cher et produit localement. Cette initiative doit contribuer aussi à réduire l'exposition à la volatilité des prix alimentaires car le digestat, coproduit de la production de biométhane, remplace les engrais de synthèse actuellement coûteux.
Bruxelles souhaite ainsi doubler dès cette année la production de biométhane de l'UE qui est de 3 milliards de m3. Le passage à 35 milliards de m3 nécessite la mobilisation de matières premières de biomasse durable, principalement des déchets et des résidus, ainsi que la construction d'environ 5 000 nouvelles usines de biométhane.
D'un point de vue technique, cela est faisable dans les huit prochaines années. Quelque 80 milliards d'euros d'investissements en capital seraient nécessaires. Cela permettrait de produire du biométhane à un coût nettement inférieur à celui du gaz naturel des derniers mois, sans compter les économies en CO2.
Ces véhicules peuvent également être accompagnés localement d’aides directes à l’investissement et sont éligibles au suramortissement.
Poursuivre la transition énergétique
Iveco entend ainsi continuer à soutenir les transporteurs dans leur transition énergétique comme il le fait depuis plus de 20 ans. L'idée étant d'aider les transporteurs à faire face à l'envolée des cours du gaz.
Les véhicules GNV entrent dans la catégorie Crit’Air 1, garantissant aux transporteurs un accès sans contrainte aux ZFEm où ils opèrent. Ils permettent de réduire drastiquement les émissions de polluants locaux, tels que les dioxydes d’azote (NO2) et les particules fines, par rapport à un véhicule diesel de dernière génération, tout en bénéficiant des mêmes performances.
Pour les transporteurs ayant fait le choix du bioGNV, ils permettent également d’éliminer presque totalement les émissions de CO2. Certifiés Pieck Quiet Truck 71 dB, les véhicules GNV permettent d’assurer des livraisons silencieuses de jour comme de nuit.
"L’usage du bioGNV, un carburant issu de la valorisation de nos déchets, amplifie le gain environnemental de ces véhicules, souligne le constructeur. Il contribue également au développement de cette filière, créatrice d’emplois locaux non délocalisables, aux revenus des agriculteurs qui en sont les principaux producteurs et à l’indépendance énergétique de la France".
REPowerEU
Par ailleurs, Iveco s’est également engagé dans une démarche visant le développement du biométhane à l’échelle européenne, avec un objectif de production de 35 milliards de m3 au sein de l'Union européenne d'ici 2030 dans le cadre du plan REPowerEU.
Celui-ci prévoit notamment remplacer 20 % des importations de gaz naturel en provenance de Russie par du biogaz, durable, moins cher et produit localement. Cette initiative doit contribuer aussi à réduire l'exposition à la volatilité des prix alimentaires car le digestat, coproduit de la production de biométhane, remplace les engrais de synthèse actuellement coûteux.
Bruxelles souhaite ainsi doubler dès cette année la production de biométhane de l'UE qui est de 3 milliards de m3. Le passage à 35 milliards de m3 nécessite la mobilisation de matières premières de biomasse durable, principalement des déchets et des résidus, ainsi que la construction d'environ 5 000 nouvelles usines de biométhane.
D'un point de vue technique, cela est faisable dans les huit prochaines années. Quelque 80 milliards d'euros d'investissements en capital seraient nécessaires. Cela permettrait de produire du biométhane à un coût nettement inférieur à celui du gaz naturel des derniers mois, sans compter les économies en CO2.