Ces petits échassiers en voie de disparition sont en effet protégés. Et quand ils se sont posés pour construire leur nid au point précis de la baie de Seine où les premiers terrasements devaient débuter, tout s'est arrété. Les travaux ne pourront reprendre que fin juin, une fois la période de nidification des avocettes passées. Jusqu'à cette date, pas question de perturber ces petits oiseaux. Pelleteuses et bulldozers resteront au repos. Les protecteurs de oiseaux locaux sont tellement heureux qu'ils en restent sans voix. L'astrophysicien Hubert Reeves a dit publiquement sa joie. Du côté du port autonome, on fait patienter les futurs utilisateurs en les informant des incontournables causes écologiques de ce retard imprévu...
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Un projet de centre routier bloqué
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