Ainsi en a décidé le préfet de région après avis de la commission des sanctions administratives (CSA). En janvier dernier, toutes deux avaient écopé d'une immobilisation d'une partie de leur parc en raison de comportements particulièrement infractionnistes (L'OT 2156). Elles devaient en outre régulariser leur situation au regard des conditions d'inscription au registre, ce qu'elles n'ont pu faire dans les délais impartis par l'autorité préfectorale. Basée dans la Loire, Trans 42 ne respectait plus les conditions de capacité professionnelle et financière. L'entreprise, qui affichait une perte d'exploitation de 57 878 € sur l'exercice 1999-2000 pour un CA de 1,85 M€, a été placée en liquidation judiciaire le 10 avril. SNTL (26) avait, elle, des capitaux propres très négatifs, indique la Direction régionale de l'Équipement. Avec 30 salariés fin 1999, son déficit de trésorerie atteignait 222 371 €pour un CA de 2,15 M€.
Actualités
Trans 42 et SNTL radiées
Article réservé aux abonnés