Aucun candidat ne se serait en effet manifesté dans le cadre de la consultation ouverte jusqu'au 25 juillet pour une reprise de la totalité du fonds de commerce de l'entreprise (Cf. L'OT 2133). Selon le quotidien Les Echos, Mory, Norbert Dentressangle, G7 et un Anglo-Saxon auraient examiné le dossier sans donner suite. Placé en redressement judiciaire le 2 avril dernier, Synchrony continuerait, selon son administrateur judiciaire, à avoir une activité soutenue et à générer des pertes d'exploitation. En 2000, l'entreprise avait accusé 13,8 millions d'euros de déficit net pour un chiffre d'affaires de 58 millions d'euros.
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