Il a estimé qu'en s'offrant le contrôle d'une des principales entreprises de messagerie du pays, la poste allemande serait susceptible de prendre une position dominante sur ce marché. Fin septembre, le Kartellamt avait approuvé l'opération sur la forme (la fusion) sans se prononcer sur le fond (L'OT 2139) et en exemptant DP d'une interdiction d'exécution. Depuis lors, le groupe postal a ainsi pu gérer Trans-o-flex sans en être effectivement l'actionnaire majoritaire. Il devrait même continuer à le faire en attendant qu'une décision définitive soit prise. Ce qui risque de durer des années. DP ayant annoncé son intention de porter cette affaire devant la justice.
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