C'est ce qu'indique Philippe Limbourg dans un communiqué diffusé le 12 juin. Dans le même document, le directeur général de Giraud International insiste pour présenter l'opération comme une «alliance stratégique» entre les deux groupes. Ces derniers opèrent selon lui un «rapprochement capitalistique» et ils «constituent une entité commune qui entend bien se positionner en acteur majeur dans le transport de vrac liquide de matières dangereuses». Philippe Limbourg estime que cette «vision de la réalité» est conforme à la stratégie affichée par son groupe en mars 2001. Elle ne dément pas pour autant le fait que les filiales concernées de Giraud International intègreront le groupe EB Trans, qui cèdera en échange 26% de son capital, soit moins qu'une minorité de contrôle.
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