Pour calculer nos prix de revient, nous raisonnons de plus en plus en terme horaire, plutôt que kilométrique, afin d'intégrer les temps d'attente. Lesquels doivent être facturés puisqu'ils impliquent des charges fixes importantes. Par ailleurs, deux revalorisations tarifaires obtenues en 2000 - 5 % en juin et 7 % en décembre - nous ont permis de compenser la progression des coûts variables (gazole, social). Depuis février 2001, la hausse des dépenses salariales a été gommée par la baisse relative du prix du carburant. Dans le contexte actuel, nous ne savons pas comment celui-ci va évoluer. S'il se stabilise autour de 4,20 F le litre, nous demanderons 5 % d'augmentation à fin 2001. A 4,70 F par exemple, nous pourrons aller jusqu'à 7,5 %. En ce qui concerne notre activité, l'exercice 2000-2001 (clôturé à fin septembre) a été très soutenu. Notre chiffre d'affaires s'établit à 49 MF, soit une croissance de 32,4 %.
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Bruno Robert, P-dg des Transports Bruno Robert (41), commente :