La part de marché en pré- et post-acheminement est tombée à 6 % à Fos et à moins de 9 % au Havre, dans un contexte de croissance des trafics maritimes qui aurait dû favoriser la croissance des modes massifiés. Dans ces deux grands ports, il commence à y avoir une prise de conscience de la situation et des travaux sont en cours pour favoriser une relance du transport fluvial de conteneurs, l’un des moyens pour éviter la congestion, mieux desservir l’hinterland, sans oublier le contexte de la transition énergétique.
Dans les ports intérieurs et du côté des opérateurs de lignes fluviales conteneurisées, les projets en lien avec le conteneur avancent et sont porteurs d’espoirs pour l’avenir. Et c’est lui seul qui dira si, finalement, le transport fluvial de conteneurs renoue avec le dynamisme et la croissance.
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