L’entretien et la modernisation de nos infrastructures fluviales s’accélèrent avec, grâce au plan de relance, des investissements portés à 300 M€ chaque année pendant 2 ans.
18 partenaires s’engagent au côté des ministères de la transition écologique et de la mer à faire des filières stratégiques que sont le maritime, le fluvial et le ferroviaire un levier de croissance, de performance pour les ports français. Voies navigables de France s’en félicite et s’engage avec détermination avec tous les acteurs de la filière fluviale ».
Des actions en cours
En plus de VNF, pour le fluvial, il y a comme signataires Entreprises fluviales de France (E2F), la CNR ; les autres acteurs sont : l'Association française du rail, les agents maritimes et consignataires de France, Armateurs de France, l’Union des ports de France, le Cluster maritime français, la Fédération française des pilotes maritimes, la FNTR, l'Association des utilisateurs de transport de fret, France Logistique, l’OTRE, le Syndicat des transitaires du Havre, TLF Overseas, l'Union maritime et portuaire de France, l'Union nationale des industries de la manutention, l’Union TLF. Selon les deux ministères, il s’y ajoute des grands groupes : Airbus, CMA CGM, Geodis (SNCF), Louis Dreyfus Armateurs, MSC, Ponant et Renault.
Thierry Guimbaud ajoute : « Beaucoup d’actions sont en cours. Des objectifs de report modal sont fixés avec nos partenaires portuaires ; un travail de maillage pertinent de l’offre est mené avec les ports intérieurs, les régions et les collectivités locales de sorte à accroître la compétitivité des chaînes logistiques ; des services innovants destinés à améliorer l’offre et de la qualité de service sont expérimentés ».
Selon un communiqué conjoint des ministères de la mer et des transports, « les signataires de la charte ont décidé de soutenir activement les filières portuaire, maritime et fluviale françaises au travers de quatre engagements forts » :
- Privilégier le passage des marchandises par les ports français tout en encourageant le recours aux modes massifiés et en favorisant le développement de filières stratégiques maritime, fluvial et ferroviaire capables de répondre aux attentes des donneurs d’ordre ;
- Garantir un niveau d’excellence opérationnelle et mettre en place un outil d’évaluation de la performance portuaire ;
- Renforcer la compétitivité des ports par la volonté de privilégier systématiquement le dialogue social pour assurer un climat social apaisé ;
- Contribuer à la relance de l’activité économique de la France en consolidant l’attractivité des ports français.