Les réactions ont été largement positives, le lien perdure entre les céréales et le fluvial, les implantations portuaires situées au bord de la voie et dans les ports sont indispensables à la compétitivité de la filière agricole.
Ces utilisateurs du fluvial ont aussi fait part d’une analyse fine de la situation du mode actuellement : évolution de la cale, réseau pas toujours adapté aux besoins, métier difficile, manque de soutien politique… Pour eux, le transport fluvial présente ses avantages habituels : capacité d’emport élevé, souplesse -que n’a pas le ferroviaire- respect de l’environnement… Certains s’inquiètent de la concurrence d’une filière qui prend de l’importance en ce moment pour le fluvial, les déblais et matériaux de construction en lien avec les travaux du Grand Paris.
Enfin, Seine-Nord Europe, Seine-Escaut pour un interlocuteur belge, est revenu régulièrement dans les propos comme un projet structurant pour la filière en termes d’export vers le Nord de l’Europe.
● Rendement et qualité au rendez-vous ● Euro-Silo, plaque tournante du trafic céréalier en Belgique ● Cérévia ou la mutualisation de la logistique céréalière ● CFNR, filiale de Rhenus, aux commandes des ports de Metz ● La coopérative Ile-de-France Sud a opté pour le fluvial ● Les céréales en concurrence avec le BTP ● La voie d’eau, un atout essentiel pour Sévépi ● Un projet de plate-forme sur le canal Seine-Nord Europe pour Noriap ● De bonnes parts de marché à Rouen ● Les céréales, une filière majeure pour les ports de Moselle