Le transporteur aérien britannique IAG, maison mère de British Airways et Iberia, a dégagé un bénéfice au troisième trimestre grâce au retour de la demande estivale pour les voyages, après deux ans de très fortes restrictions pendant la pandémie.
Après avoir renoué avec la rentabilité au deuxième trimestre, le groupe IAG continue sur sa lancée. Son bénéfice net après impôts au troisième trimestre ressort à 853 millions d'euros, contre une perte de 574 millions un an plus tôt, pour un chiffre d'affaires triplé à 7,3 milliards d'euros.
Les recettes du groupe au troisième trimestre sont notamment 0,9 % supérieures à celles de 2019 "malgré les restrictions imposées à l'aéroport d'Heathrow à Londres et avec le réseau Asie Pacifique qui reste largement fermé" commente le groupe.
L'aéroport supprimera le 30 octobre le plafond du nombre de vols qu'il avait instauré au cœur de l'été pour empêcher de nouveaux dysfonctionnements après que des grèves et pénuries de personnels eurent entraîné d'interminables queues, retards, des problèmes dans le traitement des bagages et des annulations. IAG avait prévenu il y a deux semaines que son troisième trimestre serait meilleur qu'attendu "en raison de la vigueur des revenus de passagers" pendant l'été.
"Forte demande"
Le groupe aérien avait renoué avec les bénéfices au deuxième trimestre pour la première fois depuis les pertes abyssales subies lors de la pandémie, qui a entraîné l'immobilisation du trafic des mois durant, puis une reprise très graduelle en raison de longues restrictions sanitaires.
"Nous continuons à recevoir une forte demande de passagers, tandis que la capacité et les indices de transport continuent à se remettre" de la pandémie, a commenté le directeur général d’IAG, Luis Gallego.
"La demande de voyages de loisirs est particulièrement vigoureuse et ces recettes ont retrouvé leurs niveaux prépandémie. Le voyage d'affaires continue sa convalescence progressive", a-t-il ajouté, tout en signalant "les incertitudes économiques à l'horizon et les pressions continues sur les [revenus] des ménages".
Les recettes du groupe au troisième trimestre sont notamment 0,9 % supérieures à celles de 2019 "malgré les restrictions imposées à l'aéroport d'Heathrow à Londres et avec le réseau Asie Pacifique qui reste largement fermé" commente le groupe.
L'aéroport supprimera le 30 octobre le plafond du nombre de vols qu'il avait instauré au cœur de l'été pour empêcher de nouveaux dysfonctionnements après que des grèves et pénuries de personnels eurent entraîné d'interminables queues, retards, des problèmes dans le traitement des bagages et des annulations. IAG avait prévenu il y a deux semaines que son troisième trimestre serait meilleur qu'attendu "en raison de la vigueur des revenus de passagers" pendant l'été.
"Forte demande"
Le groupe aérien avait renoué avec les bénéfices au deuxième trimestre pour la première fois depuis les pertes abyssales subies lors de la pandémie, qui a entraîné l'immobilisation du trafic des mois durant, puis une reprise très graduelle en raison de longues restrictions sanitaires.
"Nous continuons à recevoir une forte demande de passagers, tandis que la capacité et les indices de transport continuent à se remettre" de la pandémie, a commenté le directeur général d’IAG, Luis Gallego.
"La demande de voyages de loisirs est particulièrement vigoureuse et ces recettes ont retrouvé leurs niveaux prépandémie. Le voyage d'affaires continue sa convalescence progressive", a-t-il ajouté, tout en signalant "les incertitudes économiques à l'horizon et les pressions continues sur les [revenus] des ménages".