Les ports alsaciens sont logés à bonne enseigne, notamment ceux de Strasbourg, Colmar et Mulhouse-Rhin qui bénéficient de la révision du contrat de plan État-Région.
L’aménagement de l’accès des établissements de Strasbourg, Colmar et Mulhouse-Rhin et le "renforcement de leur offre multimodale" figurent dans la dizaine de projets qualifiés de prioritaires à l’occasion de la "clause de revoyure" du contrat de plan État-Région. Cette révision a été opérée ces dernières semaines à l’aune de la fusion de l’Alsace avec la Lorraine et la Champagne-Ardenne. Pour les ports, les réalisations durant l’actuel contrat, c’est-à-dire d’ici 2020, paraît donc assurée. Le contrat de plan leur octroie 38 millions d’euros, dont 5 millions pour l’accès routier à Strasbourg, 9 millions pour le terminal de Lauterbourg, 5 pour les terminaux conteneurs et vrac de Mulhouse-Ottmarsheim et 3 pour la plateforme portuaire de Colmar-Neuf- Brisach.
Parmi les autres chantiers majeurs d’infrastructures, la réhabilitation des 64 km de ligne entre Charleville-Mézières et Givet dans les Ardennes d’ici 2020 répond à des besoins de voyageurs, mais aussi de fret dans ce département industriel limitrophe de la Belgique. Les deux trains quotidiens de marchandises sont aujourd’hui limités à 60 km/h. La préservation des capacités de fret entre aussi en ligne de compte pour la nouvelle voie de 6 km en entrée Nord de Strasbourg (117,7 millions d’euros de travaux à partir de fin 2017), au débouché de la LGV-Est.
Pour les routes, les priorités vont au double achèvement de la mise à 2x2 voies de la RN4 en Lorraine et de l’A304 dans les Ardennes, et à la construction du contournement de Châtenois (Bas-Rhin) en contrebas du tunnel transvosgien Maurice-Lemaire.
Parmi les autres chantiers majeurs d’infrastructures, la réhabilitation des 64 km de ligne entre Charleville-Mézières et Givet dans les Ardennes d’ici 2020 répond à des besoins de voyageurs, mais aussi de fret dans ce département industriel limitrophe de la Belgique. Les deux trains quotidiens de marchandises sont aujourd’hui limités à 60 km/h. La préservation des capacités de fret entre aussi en ligne de compte pour la nouvelle voie de 6 km en entrée Nord de Strasbourg (117,7 millions d’euros de travaux à partir de fin 2017), au débouché de la LGV-Est.
Pour les routes, les priorités vont au double achèvement de la mise à 2x2 voies de la RN4 en Lorraine et de l’A304 dans les Ardennes, et à la construction du contournement de Châtenois (Bas-Rhin) en contrebas du tunnel transvosgien Maurice-Lemaire.
