Dans un contexte de restructuration des alliances maritimes, les programmes estivaux des armateurs sur les routes Est-Ouest proposeront moins de rotations que l'an dernier mais plus de capacités. La côte Est américaine et la Méditerranée perdent chacune deux liaisons avec l'Asie.
À quelques semaines du lancement des programmes des nouvelles alliances maritimes, le 1er avril, Alphaliner a procédé à une analyse de l'évolution du nombre de lignes sur les routes Est-Ouest et des capacités comparé à la situation de juin dernier et à l'offre actuelle, souvent moindre en raison de la saison hivernale et de la faillite de Hanjin fin août 2016.
Même si tous les détails n'ont pas encore été livrés par Ocean Alliance, 2M et THE Alliance, les tendances sont claires sur chacune des routes prises en compte – Asie-côte Ouest nord-américaine, Asie-côte Est, Asie-Europe du Nord et Asie-Méditerranée.
Coup de pression sur les taux
L'offre va encore augmenter globalement et sur la plupart des trades. À commencer par les routes Asie-côte Ouest de l'Amérique du Nord. Ce marché est actuellement le plus concurrentiel, avec six armateurs indépendants des désormais trois grandes alliances. Il sera desservi dès le mois prochain par 38 services hebdomadaires, soit autant qu'en juin 2016, mais les capacités proposées seront 4,9 % supérieures du fait du déploiement de navires plus gros sur plusieurs services. L'offre surpassera de 3,9 % celle d'aujourd'hui.
Même si tous les détails n'ont pas encore été livrés par Ocean Alliance, 2M et THE Alliance, les tendances sont claires sur chacune des routes prises en compte – Asie-côte Ouest nord-américaine, Asie-côte Est, Asie-Europe du Nord et Asie-Méditerranée.
Coup de pression sur les taux
L'offre va encore augmenter globalement et sur la plupart des trades. À commencer par les routes Asie-côte Ouest de l'Amérique du Nord. Ce marché est actuellement le plus concurrentiel, avec six armateurs indépendants des désormais trois grandes alliances. Il sera desservi dès le mois prochain par 38 services hebdomadaires, soit autant qu'en juin 2016, mais les capacités proposées seront 4,9 % supérieures du fait du déploiement de navires plus gros sur plusieurs services. L'offre surpassera de 3,9 % celle d'aujourd'hui.