D’accord, cette cabine n’est pas tout à fait celle d’un camion. Mais presque. Il s’agit en effet du poste de conduite d’une grue automotrice Liebherr LTC1050-3.1.
Une machine étonnante qui allie, comme aucune autre, compacité et capacité. Elle peut en effet lever 50 t à 3 m de portée et dispose d’une longueur de flèche télescopique de 36 m. Mais en position route « basse » sa hauteur hors-tout excède à peine 3 m. Ce qui lui permet de se glisser à peu près partout. D’autant que le reste du gabarit est très maîtrisé avec une largeur de 2,55 m et une longueur de 10,33 m, dont 1,42 m de porte-à-faux de la flèche. Enfin, avec 6 roues moto-directrices, elle vire dans un rayon de seulement 6,3 m entre trottoirs.
Mais ce n’est pas tout, cette grue monomoteur et monocabine dispose aussi d’un poste de conduite « intelligent » : sur route, il est positionné à l’avant du châssis, pour un meilleur confort de conduite, tandis qu’en opération il peut être levé jusqu’à 7,8 m pour augmenter le champ de vision de l’opérateur. Ce qui change parfois beaucoup de chose dans la manière de piloter un levage.
Donc, aucune fantaisie dans cette idée de « cabine volante », même si l’observation laissée à son sujet par Jean-Pierre Campolini, sur la page Facebook de France Routes, pourrait augurer d’un usage plus personnel et réjouissant : « Un bouchon devant ? Voyons voir… ». Une idée à suivre ?
Une machine étonnante qui allie, comme aucune autre, compacité et capacité. Elle peut en effet lever 50 t à 3 m de portée et dispose d’une longueur de flèche télescopique de 36 m. Mais en position route « basse » sa hauteur hors-tout excède à peine 3 m. Ce qui lui permet de se glisser à peu près partout. D’autant que le reste du gabarit est très maîtrisé avec une largeur de 2,55 m et une longueur de 10,33 m, dont 1,42 m de porte-à-faux de la flèche. Enfin, avec 6 roues moto-directrices, elle vire dans un rayon de seulement 6,3 m entre trottoirs.
Mais ce n’est pas tout, cette grue monomoteur et monocabine dispose aussi d’un poste de conduite « intelligent » : sur route, il est positionné à l’avant du châssis, pour un meilleur confort de conduite, tandis qu’en opération il peut être levé jusqu’à 7,8 m pour augmenter le champ de vision de l’opérateur. Ce qui change parfois beaucoup de chose dans la manière de piloter un levage.
Donc, aucune fantaisie dans cette idée de « cabine volante », même si l’observation laissée à son sujet par Jean-Pierre Campolini, sur la page Facebook de France Routes, pourrait augurer d’un usage plus personnel et réjouissant : « Un bouchon devant ? Voyons voir… ». Une idée à suivre ?