Douze améliorations techniques émergent. Elles concernent la mise à disposition d’outils informatiques conviviaux et ergonomiques, d’optimisation et de digitalisation des documents et de certaines tâches, comme le suivi des palettes. Des aides permettant de fiabiliser et de contrôler la qualité des données, transmises par les clients, sont souhaitées ainsi que l’automatisation de plusieurs opérations : cotations, traçabilité, reporting et prévisions des volumes.
L’étude a montré un besoin de formation sur des aspects essentiels de leur métier tels que la gestion du stress, la relation avec les clients et les conducteurs, ou encore sur les enjeux commerciaux et de la RSE.
La profession devrait se rassembler pour définir les missions et objectifs des exploitants. Cette réflexion pourrait préciser et clarifier leurs titres et statuts. Un travail de reconnaissance auprès des clients et l’intégration de nouvelles fonctionnalités, dans les outils digitaux, sont également à mener. Un travail prospectif sur le futur métier de l’exploitant donnerait aussi de la visibilité à ces véritables gestionnaires et organisateurs du TRM.