Annoncée par le ministère des Transports et de l'Équipement, cette échéance vient d'être confirmée par les Autoroutes et tunnel du Mont-Blanc (ATMB), un des deux maîtres d'oeuvre - avec la Société italienne du tunnel du Mont- Blanc (SITMB) - des travaux de réfection et de sécurisation de l'ouvrage. De l'autre côté des Alpes, les autorités italiennes semblent plus pressées. Le 7 mars, le secrétaire d'État aux Travaux publics, Antonio Bargone, estimait que « toutes les conditions étaient réunies pour que le tunnel soit rouvert, avec une sécurité maximale, d'ici la fin de l'année ».
Selon l'ATMB, le planning des travaux tient compte à la fois de la restauration proprement dite du tunnel ainsi que des aménagements portant sur sa sécurité (ventilation, doublement des refuges, connexion des refuges à des gaines d'air frais, etc.). Or, le gros oeuvre ne débutera qu'après la reconstitution partielle de l'incendie. Laquelle devrait avoir lieu début avril.