vient de remporter la bataille judiciaire qui l'opposait, depuis 1997, à l'Union française de l'Express (UFEX). L'organisation patronale, qui regroupe des entreprises privées de transport express, soupçonnait la filiale de La Poste d'avoir perçu des « aides d'État illicites » et d'abuser d'une position dominante sur son marché. Le 7 décembre dernier, le tribunal de Commerce de Paris a reconnu l'absence d'aides d'État à Chronopost. Un jugement qui vient confirmer une décision de la Commission européenne. Laquelle avait, en octobre 1997, déjà statué en faveur de Chronopost pour les mêmes raisons.
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