Les mouvements sociaux touchent le centre de Dijon, un des noeuds les plus importants du pays pour le fret à destination du Sud, mais également ceux de Nîmes, Avignon, Miramas et Bordeaux. « Aucun préavis de grève n'a été déposé. Nos adhérents n'ont donc pas pu reporter leur trafic sur la route. Et ceux qui ont pu le faire subissent les interdictions de circuler dues aux intempéries », regrette Jacques Rossi, le délégué général du Groupement National pour le Transport Combiné. Considérant cette situation dangereuse pour les fonds de commerce des entreprises routières encore favorables au rail-route, Pierre Fumat, président du GNTC, a demandé au ministre des Transports et au président de la SNCF de prendre des mesures afin de rétablir la situation.
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Encore victime de la grève
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