Selon les syndicats, 17 des 23 filiales de la société ont été touchées par le mouvement de grève. « Nous avons simplement voulu montrer à la direction que nous étions capables de nous mobiliser. C'est un simple avertissement puisque nous n'avons pas perturbé les trafics dits sensibles tels que les matières dangereuses, la presse ou les denrées périssables», explique Gérard Marot, secrétaire général du comité central d'entreprise de Bourgey-Montreuil. Les représentants du personnel attendent désormais la rentrée et les résultats de l'expertise financière de Bourgey-Montreuil pour se prononcer sur « des actions de plus grande envergure ». Parallèlement, les délégués syndicaux vont entamer une série de « réunions intermédiaires » avec la direction. Objectif affiché : connaître les véritables intentions de Geodis concernant sa branche route en général et Bourgey-Montreuil en particulier.
Actualité
« L'avertissement » des salariés
Article réservé aux abonnés