Initié par la direction de l'entreprise publique, SOFT vise à restructurer le groupe en quatre branches : courrier, colis, grand public et services financiers. Ce qui, selon les syndicats, risque d'aboutir à des suppressions de postes et à une précarisation des emplois. La CGT y voit même « une attaque en règle contre le statut du personnel et l'emploi en ce qu'il vise à la filialisation et à la privatisation des activités ». En signe de protestation, la CFDT, la CGT, FO et Sud-PTT ont boycotté une réunion organisée par la direction le 9 mai. Un comité technique paritaire devrait se réunir le 21 mai prochain pour examiner le projet.
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Les syndicats contre le projet SOFT
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